Accusée d’escorting, Maeva Martinez répond

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« Il y a des lois en France contre le harcèlement, la diffamation, sanction pénale, civile »

« C’est une fille vraiment intéressante. Je l’ai fait monter à Paris, je l’ai découverte à Lyon. On vit pour ainsi dire en colocation, on est vraiment voisins. C’est Alix, elle va cartonner, elle va exploser. Je me suis aussi occupé à un moment de Maeva, alors peut-être que tu connais un peu moins. Elle est un peu plus discrète dans son personnage » pouvait-on entendre dire Aqababe.

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De quoi faire sortir Maeva Martinez de ses gonds. Et de répondre : « J’aurais fait partie d’un réseau de prostitution d’escorting faisant des pratiques scatophiles. C’est tout simplement dans l’immeuble dans lequel j’habitais avant dans le 19e à Danube. J’étais au premier étage. […] J’étais tout le temps avec Alix à cette époque-là et vu qu’elle déménageait de Lyon, elle s’était mise dans l’appart en haut à côté de Laurent. On est parti visiter l’appartement d’Alix et on s’est dit bonne nuit. On était en pyjama, ça se voit. Alix venait de commencer la télé donc il vend Alix en tant que candidate très punchy. […] Ça faisait partie de son travail de nous faire avoir de la visibilité en nous mettant sur des plateaux de télé, nous faire faire des interviews, des castings etc. Donc il n’est pas en train de nous vendre en tant que prostituées mais juste en train d’expliquer les candidates de télé que nous sommes et nous mettre sur des prestations de télé, ni plus ni moins. Il y a des lois en France contre le harcèlement, la diffamation, sanction pénale, civile etc. […] Je prends contact avec mon avocate et je ferai les démarches nécessaires s’il le faut« .

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